22 janvier 2025 : quand l'année commençait sur les chapeaux de roue avec Jeanette Berger, Ashley Henry et Keziah Jones !

22 janvier 2025 : quand l'année commençait sur les chapeaux de roue avec Jeanette Berger, Ashley Henry et Keziah Jones !

De quoi enchanter la grisaille de ce mois de janvier !

Comment mieux commencer l'année qu'avec une Docks Live Sessions de légende, qui laissait la place à trois invités que nous étions particulièrement fiers d'inviter ? Le mercredi 22 janvier, le Docks 40 s'animait au rythme de trois artistes, trois voix inoubliables, qui nous ont offerts un showcase hors du temps. 

En première partie, c'est Jeanette Berger qui ouvrait la danse, une artiste que nous aurons la chance de recevoir plusieurs fois cette année dans le cadre des Docks Live Sessions. Avec sa voix puissante teintée d'émotions, l'artiste nous rappelle de grandes artistes de soul, à l'image d'Aretha Franklin ou  Etta James. Entre influences modernes et sonorités plus vintage, son style unique crée un lien unique avec son public, elle qui est capable de vous émouvoir aux larmes, mais aussi de vous faire danser jusqu'au bout de la nuit

Ensuite, direction l'Angleterre, avec un artiste britannique de 33 ans qui a, grâce à sa voix unique, réchauffé la scène du Docks 40 avec sa musique teintée d'influences soul, jazz, voire même un peu hip hop parfois : Ashley Henry. Un véritable amoureux de la musique, qui n'hésite pas à tenter de repousser les frontières des genres, et qui souffle un vent d'air frais sur la scène jazz actuelle.

Après le joli succès de son album "Beautiful Vinyl Hunter" sorti en 2019, le musicien est de retour avec son deuxième opus "Who We Are", un voyage musical qui marie subtilement musique, lutte pour les libertés, et union collective

Enfin, place à un artiste qui rayonne depuis plus de 30 ans sur le devant de la scène musicale : Keziah Jones. A 57 ans, l'artiste revient avec sa voix veloutée, mais surtout avec les sons de son tout nouvel album, "Alice & Kicking".

Connu pour ses influences aussi variées que Fela Kuti, Jimi Hendrix ou encore Miles Davis, Keziah Jones va chercher l'inspiration chez ses idoles en puisant dans sa propre palette musicale, mais en version plus douce, en mettant à l'honneur un style dont il a été le pionner, le blufunk, mélange hybride et unique entre funk, punk et des sonorités venues d'une des plus grandes ethnies africaines, les Yorubas. Un instant suspendu, qui a fait groover tout le public des Docks 40. Une belle soirée, qui a été immortalisée par Guy Carlier.